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What Henry Knew
23 février 2011

Dirty Talking - Intro

 

 

 

Dirty Talking

 


dirty_dancing_2


 Ou : Quand c’est sex de causer, et surtout quand ça l’est pas (selon Hottie).

 


Dimanche soir dernier, tandis que je reposais peinarde (comprendre: dilatée) telle une odalisque en pleine pâmoison*, pieds et poings liés que j’étais, sur la couette Ikéa d’un individu de sexe bienmonté de ma connaissance (que j’appellerai pour les commodités de la conversation en puisant dans un référentiel commun issu de notre monde consumériste, hum… Cunni King ? Ou bien euh…. Kiabite ? Bon allez, adjugé pour Kelkoo), je me pris à avoir l’âme et l’esprit vagabonds.

* Couleur de peau fidèle à la réalité. Canaaaaa, c'est finaaaa...

 

Intermède bruitage : 

*boïng zoom boïng zooooom tchoink vlam – OUCH !*

 

(= mon âme vagabondissante s’étant mangé le coin de l’étagère dans sa tentative de prise de hauteur, note pour la prochaine fois : rester à un niveau sécuritaire).

 


Comme il m’avait également bandé les yeux (ce qui m’empêchait de chercher divertissement dans mon paysage visuel environnant, comme par exemple trouver des contrepéteries dans les bouquins de sa bibliothèque, ex. : L’échec et les Maths ; Jules Verne ; Pete Sampras ; Boris Vian, maudit Magritte*) et qu’il s’était éclipsé quelques instants dans la cuisine (pour y chercher un taser ? un lance-flammes ? – je ne sais toujours pas à vrai dire, on a du mal à faire des distingos précis quand on est occupé à râler
le brâme du cerf), je me fis la réflexion suivante :

 

“Le dirty talk est totalement sous-estimé.”


 bondage


* ponses dans le second volet de la trilogie (ça vous laisse bien 72 heures pour cogitationner). Vous pouvez faire vos suggestions en attendant et vous aurez… euh… un bon point ? Pas tentant ? Bon alors… mon admiration éternelle ? Vous vous en foutez, ok. Euh... votre prénom dans le titre de mon prochain post ? Allez, ça se refuse pas.

 

Puis j’entendis des pas, un truc claquant l’air me sortit de ma philosexuelle rêverie, j’eus tout juste le temps de me post-iter sur le méandre B53 de mon cortex : “Tiens, faudrait que j’en cause trois mots sur WHK.” (illustration dédicacée à M. du New Jersey)*.

 

D’où ce post.

 

*A toi qui as lu cette parenthèse et qui t’es dit peu ou prou “Grumph c’est quoi cette private joke, c’est nul, c’est qui ce M. d’abord ? ça exclut 99,7% du lectorat, remboursez”, je te réponds… : Le premier qui me laisse un com’, il a une spéciale cassedédi semi-cryptée dans mon prochain billet. Promis. Oui. Vraiment. Alleeez ! Une ptite cassedédi de Hottie sur un blog lu essentiellement par un mec qui a tapé dans sa barre google “explication demi-baignoire” et son pote qui utilise systématiquement comme mots-clés “éjaculation sado maso sexe tahiti” ! Non ? Sérieux ? Personne ?

Rho, zêtes pas drôles les gens…

 

Problématique donc : Dans quelle mesure, lors d’une pratique impliquant friction et interpénétration de deux corps étrangers (ou plus – soyons ambitieux), est-il souhaitable d’utiliser son muscle lingual pour (hormis le fourrer dans des orifices divers et variés, das ist selbstverständig, dirait Goethe en conversant avec Tokyo Hotel), émettre des sons que d’aucuns appelleront ‘mots’ ?

 

Reformulation de la problématique : La causette améliore-t-elle la baise ? Dans quels cas l’appendice lingual doit-il rester exclusivement un outil de cunni ? Verbaliser, est-ce mieux niker ?

 

En rimes et résumé : Est-ce que la jactaille aidaille la baisaille ?


 talk_dirty_to_me


Comme on ne parle bien que de ce qui se conçoit bien (dixit Boilevin) et comme bien on ne conçoit que ce que bien l’on ne connoît (dixit le fils spirituel de Yoda et Du Bellay), je m’en vais comme à mon habitude m’appuyer sur des sexemples (non, ce n’est pas une faute de frappe, mais un mot-valise, il est chweet hein ? – non ce n’est pas une faute de frappe mais un autre mot-valise, il est grool hein ? – non ce n’est pas une … bon ok j’arrête) tirés de mon pas-toujours-très honorable vécu (qui vous révéleront par ailleurs un peu plus ma puma-itude tout en ajoutant d’autres Mouainkekchoz à la galerie WHKienne des Mouaintrèz et autres Mouainsette).

 

Et je mitonnerai tout cela à la sauce hégelienne, donc en trois plats comme toute formule à 25 euros qui se respecte, avec :


En amuse-gueule :

 

1.      “Shut up and do me”


(     Gni ? demande Mouaintrèz. – Ca veut dire ‘Ta gueule et baise-moi’ en substance. – En substance de quoi...? – Oh, Zac… ta gueule… MAIS me baise pas surtout. Non vraiment.”

 


Puis, en antipasthèse :

 

2.      Turn it up”, autrement surnommée : “Heeeeiiiin ???”

 


Pour terminer sur une très philosophique syn-marcellin-thèse, impliquant dépassement et subsumation des deux précédentes et au titre éminemment poétique :

 

3.       “Je suis ta pute” *

 

* Au sens étymologique du mot péripatéticienne bien sûr. Mise en contexte : le sujet déambule nonchalamment dans une chambre qui se trouve ne pas être la sienne avec un bouquin d’Aristote à la main – Eudème ou de l’Âme pour rester dans la thématique SM – et se retrouve inopinément épinglée contre la porte-fenêtre en passant, c’est fou la vie).

 

1ère partie dans les prochaines 24h. Oui, on aime la tease (et ses homophones) chez WHK.

 

 

Your Hotness

pin_up3

 

 

 

 

 

 

 

 


 

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Commentaires
H
Nous avons donc un challenger. :-)
A
Les mecs et les chattes<br /> Nulle verge<br /> Pipe sans trace<br /> <br /> La dernière j'ai du mal ^^<br /> <br /> Je trouve Gros dis riant vomit ma bite
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